Alors là, vous relisez l’introduction et vous vous dites : « Une saison entière, pour juste un menu ? Ouah. » Et bien, oui, ouah. Et c’est aussi ce que s’est dit DDB Paris.

Parce qu’offrir un épisode, dans le fond c’est déjà pas mal. Mais une saison entière, c’est un peu du jamais vu.

Alors comment mettre en avant la générosité de cette offre ? En appliquant à la vraie vie cette promesse simple :

« Un épisode, c’est bien. Une saison intégrale, c’est quand même mieux ».

Emma Luchini signe la réalisation de ces trois films, à l’imagerie très inspirée des codes visuels des séries. « Dans notre imaginaire collectif, la série est associée au suspense. Et plus précisément au cliffhanger, suspense poussé à son paroxysme puisqu’il a le vice de se trouver à la fin de l’épisode. Nous avons tous vécu ça, rester ébahi à la fin d’une série qui parfois même ne nous passionnait pas. En revanche, dans la vraie vie, les gens ne sont pas aussi vicieux que les scénaristes. Disons que le bénéfice qu’ils pourraient en récolter va moins de soi. Donc les gens ne font pas ça. Quand ils commencent à vous raconter quelque chose, ils vont jusqu’au bout. »  

Oui, et bien sauf dans ces comédies McDonald’s.

Outre ces trois films télé, les premiers de DDB Paris pour McDonald’s, la campagne a été déclinée en web et restaurant.