Le deuxième opus de la série crée par Ubisoft, Tom Clancy’s The Division II, plonge le joueur dans la moiteur des mois qui suivent l’épidémie qui a décimé la population mondiale.
Suite à la propagation du virus lors du Black Friday à New York 7 mois plus tôt, la contagion a rapidement atteint Washington DC. La capitale, pourtant symbole du pouvoir dans le monde entier, n’a pas été épargnée par le chaos de la pandémie pour autant.
Au cœur même de cet état de crise, seuls les agents dormants de la Division peuvent protéger la société telle que nous la connaissons et aider les civils à se développer coûte que coûte.
Alors que ces derniers se reconstruisent en créant de nouvelles communautés et cherchent à survivre dans une nature qui a repris ses droits, les agents de la Division jouent un rôle essentiel dans la préservation de ces lueurs d’espoir, en les protégeant des prédateurs et des charognards.
Réalisé par Nicolas Winding Refn (Pusher, Bronson, Drive, Only god forgives), ce film à l’esthétique marquée et aux silences assumés, est à l’opposé des mises en scène habituelles des films de jeux d’action. Avec ce film, Nicolas Winding Refn souhaite faire ressentir au public le sort désespéré d'un agent de la Division. Confronté à une peur et à un chaos constant, l'agent garde pourtant une once d’espoir pour l’avenir, motivé par ses souvenirs d’une vie d’avant
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